Au cœur de Berlin, entre la porte de Brandebourg et la Postdamer Platz se trouve un champ de 19 000 m² recouvert de 2 711 stèles grises. Créé par Peter Eisenmann, le mémorial a été inauguré le 8 mai 2005; il fut installé pour commémorer la mémoire des juifs morts durant la Shoah. Impressionnnant de par sa taille et sa couleur grise, ce mémorial nous impose le respect et le reccueillement.
Le champ de stèles. |
Ce mémorial en forme de labyrinthe avec des pierres de toutes tailles sert néanmoins de terrain de jeux aux plus jeunes, montrant le contraste entre un sombre passé et un avenir que l’on espère meilleur.
Eve-Anne Carton et Marine Chamard - TL
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- Le musée juif (Gourci / Bobin):
Son architecte,
Daniel Libeskind, a créé ce batiment sous le signe de la mémoire.
En effet ses parents étaient des juifs polonais. L'inauguration de
ce batiment a eu lieu en 2001 après cinq ans de construction de 1993
a 1998.
La forme si particulière de ce musée s'explique par deux facteurs
liés tous deux avec l'histoire des juifs. Le premier est l'étoile
de David est qui est fragmentée comme pour représenter la
souffrance des juifs. De plus l'architecte n'a pas voulu déraciner
les arbres présents sur les lieux, comme l'a été le peuple juif.
Le
musée est constitué principalement de trois couloirs ( l'Holocauste,
l'Exil et la Continuité ) qui représentent différents moments de
l'histoire juive.
Le
couloir de l'Holocauste est un espace sombre et froid qui évoque la
destruction du peuple juif, ce couloir mène à la tour de l'Holocauste.
Celui de l'Exil est synonyme de déracinement montrant l'exil de
juifs et menant au jardin de l'Exil qui lui correspond à la
perte de repére. Le dernier est celui de la Continuité qui lui
représente la présence des juifs en Allemagne. Au bout de ce
dernier on arrive à la salle du musée avec 13 tableaux présentant
l'histoire judéo-allemande.
Six
tours vides provoquent une perte de répère à
l'intérieur du musée. La seule qui soit accessible au visiteur est
celle qui est recouverte au sol de masques métalliques. L'expression
de ces visages nous montrent les cris émis par les juifs, de plus
des bruits surgissent de ces visages qui correspondent aux cris des
millions de personnes sans sépulture ( sans caveaux, sans tombes ).
Valentin Bobin et Antoine Gourci -TES
- le musée de la résistance Allemande:
C’est dans le Bendlerblock que travaillait Claus von Stauffenberg, chef d’Etat Major pour l’Armée de Réserve et de l’Intérieur. Le musée est installé dans ses anciens bureaux car il organisa un attentat contre Hitler en juillet 1944. Hitler fût simplement blessé et le prédicateur fut tué.
La cour intérieure du musée, Bendlerblock. |
C'est en 1967 que le Sénat de Berlin décide de dédier un lieu à la résistance intérieure. Le musée rend hommage à des groupes comme à des personnages grâce à de nombreuses photos et expositions autour de leur quotidien et de leurs actes. C’est le début d’une prise de conscience.
Léa Durand et Henri Déchamps
- Topographie de la terreur (Delpech)
- La Neue Wache (Tereza Krausova 1ES.) avec présentation sur place
Le mémorial de Neue Wache (nouvelle garde)est situé entre le Deutsches
Historisches Museum (Musée d'histoire allemande) ou de l'ancien manège
militaire et l'Université Humboldt.
C'est la première importante commande publique de la ville de Berlin à
Karl-Friedrich Schinkel (un architecte prussien). Érigé en 1818 comme un
monument aux victimes de la guerre anti-napoléoniennes, il est depuis
la réunification le monument principal de la République fédérale de
l'Allemagne pour la commémoration des victimes de la guerre et de la tyrannie.
Apres la réunification allemande les allemands ont choisi la sculpture de Käthe Kollwitz "Mère et son fils mort", une Pietà comme symbole de la tragédie perpétuelle de la perte de vies humaines causées par la guerre et de la tyrannie. Aujourd'hui, la salle souterraine garde les restes d'un soldat inconnu, un combattant de la résistance et du sol des champs de bataille et des camps de concentration.
Tereza Krausova- 1ES.
référent: M Fardel
eric.fardel@ac-orleans-tours.fr
La sculpture de Käthe Kollwitz |
Apres la réunification allemande les allemands ont choisi la sculpture de Käthe Kollwitz "Mère et son fils mort", une Pietà comme symbole de la tragédie perpétuelle de la perte de vies humaines causées par la guerre et de la tyrannie. Aujourd'hui, la salle souterraine garde les restes d'un soldat inconnu, un combattant de la résistance et du sol des champs de bataille et des camps de concentration.
Tereza Krausova- 1ES.
référent: M Fardel
eric.fardel@ac-orleans-tours.fr
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